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A Santiago, la capitale du Chili, un prêtre français installé dans le pays depuis plus de trente ans vient en aide aux plus pauvres, frappés pas les restrictions dues à l’épidémie de Covid-19.
La nuit est déjà tombée. Le thermomètre n’affiche pas plus de 8 degrés en cette fin du mois de juillet. Confinement oblige, aucune activité n’a eu lieu depuis fin mars à la paroisse San Cayetano, en plein quartier de La Legua, l’un des plus pauvres de Santiago. Pourtant, une douce odeur de sauce à la viande doucement mijotée s’échappe des locaux. Dans l’exiguë cuisine, Leontina, 76 ans, s’affaire depuis le milieu de l’après-midi. Trois soirs par semaine, elle vient préparer le repas pour les sans-abri du quartier. “Je cuisine comme pour ma propre famille”, lance cette grand-mère. Sa fille, Jacqueline, son gendre, Eduardo, et leur propre fille, Nicole, vont bientôt débuter la distribution, assistés de leur amie Carola.
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