Partageons les bonnes idées.
Une master classe sur le Pisco chilien à eu lieu le lundi 16 octobre dans l’ambassade du Chili en France, très bien organisé par Pro Chile France. Cette Master classe à permis à la délégation chilienne (* voir plus bas) de rencontrer des nombreux professionnels français, qui ont pu faire la découverte du pisco du Chili. La route est longue, pour pouvoir déguster un Pisco ou un pisco souer en France, car plus de 90% de la cosommation reste au Chili.
Cette initiative de Pro Chile cherche justement à promouvoir la commercialitation par les producteurs chiliens de la région de Coquimbo.
Ici je vous laisse la conversation que nous avons eu avec Bárbara Niño de Zepeda, de Cogotí Pisco, qui est la seule femme au Chili a faire (de A à Z) son pisco, dans de la vallée de Limarí et près du fleuve Cogotí. Elle est à la tête de 4 hectares de la petite entreprise familialle qui a un riche passé dans la fabrication du Pisco, remontant XIV générations!
“En el evento un profesional mixólogo presentó los destilados y estuvieron presentes cavistas, sommeliers, mixólogos, influencers, periodistas especializados, importadores y distribuidores.
En la actividad la industria pisquera local estuvo representada por * @cogoti_pisco@piscochanaraldecaren.cl@pisconontay y @piscotololo quienes tuvieron la oportunidad ellos mismos de dar a conocer sus productos y se repartieron fichas técnicas de cada destilado.” Información copiada de la página Facebook de Pisco Coquimbo.
Tournée à Paris de l’Orchestre de Jeunes de La Pintana et rencontre d’orchestres de jeunes à vocation d’intégration sociale.
Novembre 2023.
Composé de 24 musiciens sous la direction de Fernando Saavedra et avec trois accompagnants, l’orchestre de chambre communal chilien séjournera à Paris du 14 au 28 novembre 2023. Trois concerts sont au programme (et un quatrième est en cours d’organisation), dont le répertoire est composé de musique chilienne et de pièces françaises :
- Vendredi 17 novembre à 19 h, à la salle des fêtes de la mairie du 18e arrondissement de Paris
- Mercredi 22 novembre à 19 h, dans le grand salon de la Maison de l’Amérique Latine
- Vendredi 24 novembre à 19 h, dans l’auditorium du Conservatoire Maurice Ravel du 13e arrondissement
- A une date qui reste encore à déterminer, au siège de l’Unesco.
En savoir plus sur le site de l’association apertio cliquez-ici
Je participe avec mon tableau “Le rêve d’Amérique” jusqu’au 28 octobre l’exposition Hors-champ à l’Orangerie de Cachan, 15 rue Gallieni 94230 Cachan.
Horaires d’ouverture de l’Orangerie :
Du lundi 9 au samedi 28 octobre, de 10h à 12h et de 14h à 18h ; le jeudi jusqu’à 19h
RER B Station Arcueil – Cachan (monter devant).
Je vous invite à visiter mon site “Les couleurs de la mémoire”
Antoine de Tounens roi de l’Auracaría
Je serai samedi prochain 21otobre à 20H30 salle de la Rode dans la magnifique bastide de Domme en Périgord pour donner une conférence sur Antoine de Tounens et sa rencontre avec le peuple Mapuche en Araucanie et Patagonie. Je dédicacerai ensuite les deux tomes de ma biographie sur le personnage « Le Rêve du Sorcier ». La soirée est organisée par l’Office de la Culture de Domme, au plaisir de vous y retrouver.
Plus d’information sur la page Facebook de Jean-françois Gareyte
Notre amie Katta Alonso
Non seulement est une activiste de premier plan nationale et internationale, elle participe dans l’œuvre PUCHUNCAVÍ, El humo en el cuerpo (La smog dans le corps), performance qui est organisée autour d’une tournée par régions.
Soirée Chili au cinéma de Cachan
Très belle soirée cinéma hier au Cinéma La Pléiade à Cachan dédiée au Chili. Salle très bien remplie pour regarder Septembre Chilien de Bruno Muel, Théo Robrichet et Valérie Mayoux, filmé quelques jours après le coup d’état dans les rues de Santiago, en première séance. Puis, Les enfants des mille jours, film de Claudia Soto Mancilla et Jaco Bidermann, avec la présence de la réalisatrice. Comme l’a dit la réalisatrice, ce film raconte l’histoire avant le 11 septembre 1973 jour néfaste pour l’expérience chilienne et sa révolution socialiste.
RÊVES DE CHAIR Vernissage le 19/10
Présente le travail photographique de Nicolas Slachevsky, autour des mannequins qui décorent les vitrines du boulevard Magenta et du quartier de la Goutte d’or. 19/10/2023
Soigneusement installés pour l’étalement de marchandises – robes de mariages, costumes, perruques, cils, ongles –, ces mannequins sont le témoignage d’idéaux de beauté, de préconceptions de genre, d’imaginaires de l’amour et de la fête derrière ces mêmes marchandises qu’ils étalent. Approchés du regard fasciné et ouvertement fétichiste du photographe, ce travail essaye pourtant d’y aller au-delà cette première couche de sens afin de capter ces objets inanimés sur le vif. Suivant une démarche plus proche de la fiction que du documentaire, il s’agit dès lors de rendre compte de la sensualité, de l’humour, et de l’érotisme dont ces mannequins sont capables : approcher la manière dont, tel des fantômes, ils arrivent à révéler quelque chose de nos propres phantasmes et désirs. Le dramatisme cinématographique des scènes qui en résultent nous permet ainsi d’imaginer la façon dont, derrière la vitrine, c’est bien plutôt eux qui nous regardent –rêvant peut-être, autant que nous d’accéder aux marchandises qu’ils nous proposer, de pénétrer (soit-il pour un instant) dans notre existence de chair.
« La grande Fonda » chilienne.
Dans une révolte joyeuse et décoiffante nous célébrerons
le « Jour de tous les Peuples d’Amérique Latine »
et le « Dieciocho Chico »
Los Cóndores en Francia
Caszely sur Libé ! © Libération © photo Tamara Merino
L’attaquant chilien, idole de tout un peuple, fidèle à ses idéaux de gauche, n’a pas hésité à défier le dictateur à plusieurs reprises. Extrait de son portrait, aujourd’hui dans Libé :
Au retour d’Union soviétique, il zappe la réception de Pinochet, le nouveau locataire du palais présidentiel, et file directement rejoindre son nouveau club espagnol, Levante. Au bout de quelques mois, il rentre au Chili pour découvrir un autre régime autoritaire et se préparer à la Coupe du monde 74. Sa mère l’attend à l’aéroport. «Je la vois triste, distante. Je lui demande ce qui ne va pas, elle ne répond pas. Mon père tire la gueule, ma sœur pleure. A la maison, elle m’invite dans la chambre à coucher. J’étais tremblant. Elle s’est assise sur le lit et m’explique qu’elle a été arrêtée. Tu as eu un accident de voiture ? Non, ils m’ont enlevée et torturée. Je n’arrive pas à la croire et lui dis : “Maman, tu ne peux pas jouer avec ça.” Elle ouvre son chemisier et me montre ses seins brûlés. On s’est serrés dans les bras et on a chialé comme des enfants.»
Quelques jours plus tard, avant de s’envoler pour l’Allemagne, Pinochet convie la Roja pour une cérémonie et cette fois, Carlos Caszely n’y échappe pas. Quand arrive le moment du serrage des pinces, il ferme les yeux et s’y refuse. Un journaliste zélé du quotidien la Tercera fait fuiter l’info sur ce «communiste qui refuse de saluer le chef de l’Etat». Il sera limogé dans la journée. Le tyran n’a pas supporté l’affront. L’attaquant chilien n’y aurait pas survécu s’il n’avait été l’idole de tout un pays. En 79, les deux hommes se retrouvent au moment où l’équipe nationale joue la Copa America. «Ma femme m’avait recommandé un accessoire rouge à cause du costume que je portais. Au palais, Pinochet m’a dit qu’il allait couper ma cravate rouge. J’ai répondu que j’en avais d’autres. Vexé, il m’a demandé si je savais qu’il pouvait faire couper toutes mes cravates rouges. J’ai alors dit : “Les portes de ma maison sont ouvertes à tous, vous pouvez toutes les couper, mon cœur restera toujours de la même couleur.”»
👉 L’intégralité du portrait par Rico Rizzitelli est à lire dans l’appli Libé
Voici l’invitation pour le vernissage, celles et ceux qui souhaitent venir, il faut me prévenir pour les ajouter à la liste d’invités (plan vigipirate oblige). Plus d’info sur chopan63