Partageons les bonnes idées.
23/10/2020
Arrestation arbitraire d’une journaliste dans le centre de Santiago.
“Peu après avoir surveillé le monument, les voitures blindées et les bus qui transportent les forces spéciales ont été déplacés dans les rues qui bordent le parc, où notre journaliste Claudia Aranda a commencé à enregistrer une vidéo.”
22/10/2020
Chili : pas de démocratie sans le féminisme ?
LE 22/10/2020
Chili : la semaine qui pourrait ébranler l’héritage institutionnel de Pinochet.
A lire et écouter sur franceculture.fr en cliquant sur Télécharger
Chile Desperto est un reportage sonore, un récit mêlant les voix d’une trentaine de personnes rencontrées dans un Chili en pleine transformation. Le 18 octobre 2019 surgit « l’estallido », l’explosion, comme le nomment d’abord les Chiliennes et les Chiliens. Mais cette révolte s’est mue en quelques mois en un phénomène qui, pour beaucoup, ressemble déjà à une Révolution. Si le système néo-libéral mis en place sous le régime de Pinochet ne s’est pas encore effondré, le peuple chilien a bel et bien rompu avec sa normalité en se retrouvant durablement dans ses rues et sur ses places.
C’est précisément ce virage que ce documentaire tente d’explorer à travers six épisodes, dans une perspective à la fois chronologique et thématique.
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Merci au site lundi.am pour nous permettre de partager avec vous ce magnifique reportage!
4/6/2020
Le retour de”Soupes populaires” dans les quartiers pauvres de Santiago.
“Les manifestations contre les inégalités, interrompues au début de l’épidémie, ont repris à Santiago. Dans les quartiers défavorisés, des bénévoles s’organisent pour distribuer de la nourriture. Un rappel amer des années Pinochet.”
“Malgré plus de 105 000 cas confirmés à l’échelle nationale le 2 juin, et alors que les hôpitaux de la région capitale frôlent la saturation à cause du coronavirus, «la faim est plus forte que la peur de se rassembler», constate Stephanie Ortiz, 26 ans, qui coorganise une soupe populaire à El Bosque. «Cela me fait mal de voir que les gens doivent batailler pour un peu de dignité», soupire-t-elle entre deux coups de fil, avant d’aller déposer des repas directement chez les habitants. Dans ce quartier aux trottoirs abîmés et aux rues étroites, en banlieue Sud de Santiago, au moins trois soupes populaires sont organisées en même temps, entre voisins.”
Source liberation.fr (abonnés)
10/5/2020
Le Chili, premier producteur de cuivre au monde, parie sur les propriétés antiseptiques de ce métal qui élimine efficacement bactéries, virus et champignons, pour faire face aux pénuries mondiales de masques provoquées par l’épidémie de coronavirus.
Source: ouest-france.fr
On fait donc face à la domination d’une oligarchie médiatique très fermée, dans le cadre du néolibéralisme chilien qui a été installé durant la dictature de Pinochet (1973-1989) et qui a ensuite été consolidé en « démocratie » à partir de 1990. Cette oligarchie financière ne contrôle pas seulement les moyens de production et de distribution, les principales ressources du pays, elle contrôle aussi les moyens d’information, les médias, et elle applique une stratégie de contrôle économique et idéologique de l’information très forte.
Lire l’article sur acrimed.org
11/4/2020
Je suis française et j’habite à Valparaiso, au Chili, depuis un peu plus d’un an. Je n’ai pas de résidence permanente ici, juste un visa de touriste que j’ai pu renouveler jusqu’à présent tous les trois mois en passant la frontière. Malgré cette situation, j’ai pu me faire embaucher sans trop de difficultés comme serveuse dans un restaurant du Cerro Alegre, le quartier bobo de la vieille ville, clinquant de couleurs et de street art, de boutiques, d’hôtels et de restos.
Lire l’article complet sur le site du Courrier International
19/3/202
Coronavirus : couvre-feu au Pérou, état d’exception au Chili… L’Amérique latine se confine à son tour.
Le coronavirus gagne l’Amérique latine. Le Chili a décrété l’état d’exception, mercredi 18 mars, pour permettre le déploiement de l’armée pour le maintien de l’ordre. Le Pérou a de son côté décrété un couvre-feu sur l’ensemble de son territoire pour tenter de contrer la progression de l’épidémie.
Source: francetvinfo.fr
Après des débats agités, le congrès chilien a finalement adopté mercredi 4 mars une loi qui impose la parité hommes-femmes lors du prochain scrutin en vue d’élire la nouvelle Assemblée constituante, une victoire pour les féministes mobilisées depuis mi-octobre. Si la nouvelle constitution est approuvée lors du référendum prévu fin avril, elle serait donc rédigée par une assemblée composée de quasiment 50% de femmes, une première mondiale.
Le Chili impose la parité hommes-femmes aux élections pour la Constituante
Première ligne
Beaucoup de gens d’autres pays nous ont demandé d’interviewer les jeunes de la «première ligne», qui chaque jour affrontent les forces spéciales des carabiniers avec leur propre corps sur les principales places et avenues du Chili, en particulier autour de la Plaza Dignidad, l’épicentre de la protestation sociale qui se déroule depuis près de quatre mois consécutifs maintenant.
Sans ces jeunes, qui servent de cordon de protection face aux forces de l’ordre en les empêchant d’entrer dans les lieux où les gens manifestent, la répression aurait été encore plus brutale. C’est précisément à cause de ce «mur humain» auquel ils se confrontent chaque après-midi que les canons à eau ont du mal à avancer. Dès que les policiers lancent leurs bombes lacrymogènes, ces jeunes sautent pour les rattraper en l’air avant qu’elles n’explosent et courent les enfoncer dans leurs bidons d’eau afin de les désamorcer. Ils construisent des barricades avec tout ce qu’ils trouvent afin de bloquer les routes. Ils se défendent avec des boucliers improvisés en tôle, avec le bois de pancartes, avec du carton.
En fait, ils ont été publiquement reconnus par le juge Baltasar Garzón et de nombreux autres observateurs internationaux qui ont enregistré le travail de protection de ces volontaires.
Ecouter France-culture sur la situation au Chili
27/2/2020
Source: actus.orange.fr
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées vendredi dans la capitale chilienne Santiago pour protester contre le gouvernement de droite de Sebastian Piñera et pour réclamer de vastes réformes.
Matapaco, histoire d’une légende
Chili: Negro Matapacos, le chien errant devenu le symbole de tout un peuple
C’est dans la capitale du Chili, Santiago, que Negro Matapacos s’est fait connaître, pendant les manifestations de 2010, auprès des étudiants des universités. Il attaquait les Carabiniers du Chili, et est devenu la coqueluche des manifestants.
Chili: Negro Matapacos, le chien errant devenu le symbole de tout un peuple
L’onde de choc de la répression au Chili
Depuis le 18 octobre 2019, une large mobilisation populaire secoue le Chili et ébranle les fondements du régime politique tout en remettant en question le modèle économique néolibéral hérité de la dictature de Pinochet.
Malgré quelques annonces et une ouverture liée à la mise en place graduelle d’un processus constituant, jusqu’à maintenant le gouvernent de droite du président Sebastián Piñera a répondu à ces mobilisations principalement par l’usage de la force. Malgré quatre missions internationales d’observation qui ont formulé des recommandations, la répression et les violations de droits de la personne continuent. C’est pourquoi une mission d’observation québécoise a été mise sur pied pour évaluer la situation sur le terrain du 18 au 27 janvier 2020.
Chili : trois mois d’une crise qui rappelle celle des Gilets jaunes
18 janv. 2020
Déclenché le 18 octobre 2019, le mouvement de protestation se poursuit au Chili. Si des concessions ont été faites aux protestataires, la stabilité n’est pas encore de retour. Un référendum constitutionnel très attendu doit se tenir en avril. Ce qui se passe au Chili rappelle en plusieurs points – toutes proportions gardées – la crise des Gilets jaunes et celle de la réforme des retraites en France. La façon dont Emmanuel Macron a géré la crise des Gilets jaunes a d’ailleurs été jugée exemplaire par un sénateur de la majorité du président, Sebastian Pinera, qui comparait en octobre la situation chilienne avec celle de la France.
Le Chili toujours dans l’incertitude, trois mois après le début de la crise sociale
Les institutions n’ont jamais paru aussi affaiblies, ébranlées par une fronde sociale sans précédent, déclenchée par une hausse du ticket de métro à Santiago et nourrie par la colère face aux profondes inégalités socio-économiques. Source lemonde.fr
30/12
Les nominations du pape au Chili ne font pas l’unanimité
Alors que François a nommé deux nouveaux archevêques à Santiago et à Puerto Montt, vendredi 27 décembre, des voix s’élèvent au Chili pour protester contre ces choix dans une Église gravement atteinte par le scandale des abus sexuels.
Source: lacroix.fr Par Bruno Bouvet (avec CNN Chili et Il Sismografo)
27/12
Nouveaux affrontements violents à Santiago
Mais après près de deux heures d’affrontements et après qu’un incendie s’est déclaré dans un centre culturel voisin, des milliers de manifestants ont finalement réussi à atteindre le centre de la place, ont indiqué les journalistes de l’AFP.
Source: lemonde.fr
Crise au Chili : nouveaux affrontements violents à Santiago
26/12
Incendie à Valparaíso
Source: lemonde.fr
Chili : 245 maisons ravagées par un incendie à Valparaiso
13/12
Source: lemonde.fr
Le rapport de l’ONU sur les violations de droits de l’homme sus Chili depuis l’explosion sociale qui débute le 18 octobre et que 2 mois après continue a faire des victimes parmi les manifestants pacifiques.
L’organisation encourage le gouvernement Piñera à poursuivre les responsables des violations des droits de l’homme.
Torture, mauvais traitements, viols… L’ONU condamne la répression des manifestations au Chili
Source: lefigaro.fr avec AFPPublié le 16 décembre 2019 à 20:04
Le président chilien Sebastian Piñera a annoncé lundi avoir déposé devant le Parlement un projet de loi durcissant les sanctions contre les auteurs d’agressions visant des policiers, près de deux mois après le début de la grave crise sociale qui secoue le pays.
Chili: le président veut durcir les sanctions contre les agresseurs de policiers
Le contre pouvoir des municipalités en Hongrie et au Chili!
Dans le même esprit des pouvoirs municipaux qui s’affirment en acteur d’opposition face à leurs gouvernements, nous partons à présent au Chili.
Là-bas, nous apprend le journal en ligne Cooperativa, c’est l’Association chilienne des Municipalités qui a pris l’initiative d’organiser un référendum citoyen, tenu ce dimanche dans des bureaux de vote et sur internet. On y demandait aux Chiliens quelles étaient leur priorité, dans la grande crise politique et sociale qui secoue le pays depuis plus de deux mois. La réponse semble sans équivoque : sur plus de deux millions de vote exprimés, 90% se prononcent en faveur d’une révision de la Constitution, pour en finir avec celle qui avait été mise en place par la dictature d’Augusto Pinochet et n’avait jamais été remise en cause depuis.
Un magnifique reportage sur le Chili, à lire sur le “Grand Format” de francetvinfo.fr
“Ils veulent nous rendre aveugles”!
La crise sociale sans précédent qui secoue le Chili depuis plus d’un mois a fait 23 morts, dont cinq à la suite de l’intervention des forces de l’ordre, et plus de 2 000 blessés.
Manuel Véliz se rendait à Santiago pour chercher un travail lorsqu’il a vu une foule de personnes s’agiter près du métro où il se dirigeait. Des policiers étaient en train de lancer des bombes lacrymogènes contre les manifestants quand il a senti sur son visage un lourd et douloureux impact. “J’ai vu du sang couler au sol, je savais que ça ne servait à rien de crier, raconte le jeune homme de 21 ans, habitant du quartier de Cerro Navia, en périphérie de la capitale chilienne. J’ai tenté de contenir le sang qui coulait de mon œil tant bien que mal.” Encore en état de choc, il fait partie des plus de 300 personnes blessées à l’œil depuis le début de la contestation au Chili, le 18 octobre. Franceinfo est allé à leur rencontre.
Ils se sont partagé la terre, la loi, les plus jolies rues, l’air ambiant, l’université, les souliers…” Dans son poème J’accuse, écrit en 1947, Pablo Neruda dénonçait l’oligarchie chilienne. Plus de soixante-dix ans plus tard, les vers du prix Nobel de littérature chilien semblent être toujours d’actualité, à l’image de la révolte qui gronde dans le pays depuis le 18 octobre. L’étincelle est partie de la hausse du prix du ticket de métro – suspendue depuis – et s’est rapidement transformée en un rejet global du modèle économique et social du pays et de ses dirigeants.
Car si le Chili est souvent présenté comme un modèle pour ses voisins d’Amérique latine, et si ses indicateurs économiques sont exceptionnels – un taux de chômage à 7%, un taux de pauvreté de 8,6% et une croissance qui devrait atteindre 3,5% du PIB en 2019 – le pays de 18 millions d’habitants souffre de très grandes inégalités. Selon l’ONU, en 2017, 1% des Chiliens concentraient 33% des revenus du pays. Sur les cent plus grosses entreprises chiliennes, la moitié est contrôlée par seulement vingt familles. Après des années de relative stabilité, depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990), le Chili reste traversé par de profondes fractures sociales. Comment en est-il arrivé là ?
Un magnifique reportage sur le Chili, à lire sur le “Grand Format” de francetvinfo.fr
© Texte et photos : Elise Lambert
Voir l’article “L’état oppresseur” télécharger le texte de la performance en format pdf
5/11
“Le patriarcat est un juge qui nous juge d’être née. Et notre punition c’est la violence que tu vois. C’est le fémicide, l’impunité pour nos assassins, c’est la disparition, c’est le viol.
Et la faute n’étais pas a moi, ni où j’étais, ni ce que je portais (x4)
Le violeur c’était toi, le violeur c’est toi. C’est les flics, les juges, l’état, le président.
L’état oppresseur est un macho violeur (x2)
Le violeur c’était toi le violeur c’est toi (x4)
*Dort tranquille, petite fille innocente. Ne t’inquiètes pas du bringand. Pour ton sommeil, doux et souriant, veille ton amoureux carabinier.”
*Cette couple figure dans l’hymne des carabiniers du Chili.
Voir l’article sur ouest-france.fr
3/12
L’activité économique du pays s’est effondrée depuis octobre, date à laquelle un mouvement de protestation d’une extrême ampleur a éclaté. De nouvelles manifestations et des incidents ont eu lieu dans la capitale Santiago et à Concepcion.
Source lemonde.fr
26/11
La police française refuse de conseiller le Chili sur le maintien de l’ordre
Alors que la gestion des manifestations de Gilets jaunes par la police nationale est au cœur de plusieurs polémiques (violences policières, manifestants grièvement blessés, enquêtes de l’IGPN classées sans suite…), le timing aurait été plutôt mauvais. « Nous ne conduisons pas de coopération en matière de maintien de l’ordre avec les autorités chiliennes à l’heure actuelle, et les projets éventuels qui devaient être menés, sont ajournés », a expliqué la police nationale à l’AFP ce mercredi.
Le gouvernement du président conservateur Sebastian Piñera avait récemment annoncé que les polices anglaise, espagnole et française conseilleraient les forces chiliennes pour aider au maintien de l’ordre dans le pays.
La crise qui secoue le Chili est la plus grave depuis le retour de la démocratie en 1990. Cette vague de contestation a fait 23 morts, dont cinq après l’intervention des forces de sécurité, et plus de 2 000 blessés.
Source: lavoixdunord.fr
Le président chilien avait annoncé une collaboration avec la police française, entre autres, pour gérer les manifestations qui secouent le pays. La France dément.
Question posée par J-François le 27/11/2019
Bonjour,
La nouvelle était restée relativement confidentielle, du moins en France. A l’occasion d’une allocution le dimanche 24 novembre, le président chilien Sebastián Piñera faisait plusieurs annonces pour répondre aux critiques dont font l’objet les forces de l’ordre du pays. Et promettait : «Les carabiniers du Chili vont recevoir à partir de cette semaine le conseil professionnel des polices d’Angleterre, d’Espagne et de France, pour pouvoir enrichir les stratégies dans le processus opératif, pour améliorer les mécanismes de maintien de l’ordre public, pour donner plus de sécurité à nos concitoyens.»
Source liberation.fr
25/11/2019
Albertina Martinez Burgos a été retrouvée morte dans son appartement le 21 novembre. Son ordinateur et son appareil photo ont disparu. Dans le contexte d’explosion sociale que connaît le pays depuis le 18 octobre, certains soupçonnent les forces de l’ordre d’être liées à ce décès. Par Patrick Bèle
Source lefigaro.fr
Considéré comme un exemple de réussite économique en Amérique latine, le Chili est en ébullition depuis huit jours. Au-delà de la hausse du prix des billets de métro à Santiago qui a servi de bougie d’allumage au mouvement de révolte, les manifestants ciblent l’ensemble de la classe politique et tout un système en place depuis la fin de la dictature, il y a 30 ans. Source : lapresse.ca
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19/11/2019
Chili : pour la première fois, le président reconnaît « un recours excessif à la force » contre les manifestants
La crise sociale sans précédent qui secoue le pays depuis un mois a fait 22 morts et plus de 2 000 blessés, dont des centaines victimes de lésions oculaires.
Source Lemonde.fr
16/11/2019
Chili : le mouvement s’attaque à l’économie
REPORTAGE. La violence accrue des manifestations au Chili a contraint les partis politiques à sceller un accord pour remplacer la Constitution.
Source lepoint.fr
https://www.facebook.com/AFPfra/videos/2488281361298644/
15/11
Chili, révolte ou révolution ?
“Depuis un mois, le Chili vit une révolte populaire sans précédent. En cause, le modèle ultralibéral instauré pendant la dictature d’Augusto Pinochet, encore en vigueur aujourd’hui et qui a transformé le pays en l’un des plus inégaux au monde. Face aux centaines de milliers de manifestants, le président Sebastián Piñera et son gouvernement ont répondu avec une violente répression héritée de la dictature.”
“Cette soudaine explosion de colère au Chili semble avoir surpris le monde entier. Avec une croissance de 2,5 % par an, le pays s’est bâti la réputation d’être le plus stable d’Amérique latine. Pourtant, en 45 ans, son modèle économique ultralibéral hérité de la dictature l’a surtout transformé en l’un des pays les plus inégalitaires au monde : les 1 % les plus riches y concentrent près d’un tiers des richesses.”
Source france24.com
Du Chili à Hong Kong, la contestation se mondialise
Source arte.tv
Un référendum va être organisé en avril 2020 au Chili en vue de réviser la Constitution héritée de la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990), a annoncé le président du Sénat Jaime Quintana, alors que le pays est secoué depuis près d’un mois par une violente crise sociale.
source 20minutes.fr
Chili : après la crise, un référendum pour une nouvelle Constitution
Chili : les manifestations gagnent les beaux quartiers de Santiago
Source lefigaro.fr
12/11/2019
Une marche de soutien au peuple chilien s’est déroulée à 14h ce mardi 12 novembre pour dénoncer les violations des droits de l’homme, constatées au Chili, après trois semaines de manifestations dans tout le pays contre le gouvernement en place.
Source france3.regions.francetvinfo.fr
La fronde sociale inédite qui secoue le Chili depuis près de trois semaines s’étend désormais aux quartiers aisés de la capitale Santiago. En parallèle, les accusations de violation des droits de l’Homme par la police se multiplient. Source france24.fr
Solidarité avec le Chili vendredi 8/11 sur le front de l’hôtel de Ville de Paris
7/11/2019
Les limites de l’ultra libéralisme.
Le président Piñera, 69 ans, élu fin 2017 et qui a déjà été au pouvoir entre 2010 et 2014, a annoncé, mardi soir, une série de mesures sociales, dont l’augmentation de 20 % du minimum retraite. Il a reconnu « un manque de vision » et demandé « pardon ». Mais lui-même personnifie le système qui est dénoncé et la caste du 1 % de la population qui concentre 25 % à 30 % des richesses. Milliardaire, il s’est enrichi durant la dictature et défend la gestion privée généralisée des services de base, l’absence de filets sociaux de sécurité et une législation du travail qui, peu réformée depuis Pinochet, perpétue la précarité.
Source lemonde.fr
Trois semaines après les débuts d’ une intense crise sociale qui s’est soldée par la mort de 20 manifestants, aucune issue ne se semble se profiler au Chili, malgré les quelques concessions faites par le pouvoir. Mercredi, des rassemblements se sont étendus jusqu’aux quartiers aisés de la capitale, Santiago. Source leparisien.fr
Pour Nancy Yañez, directrice du centre des droits de l’homme de l’université du Chili, à Santiago, «le caractère massif de ces violations des droits de l’homme, en à peine trois semaines, montre la gravité de cette situation sans précédent depuis le début de la transition vers la démocratie» en 1990. Source Libération
6/11/2019
Une élite intouchable
Sur les trois dernières décennies, les inégalités économiques sont relativement stables au Chili, ce qui veut dire que l’ensemble des revenus a progressé à la même vitesse, mais que les inégalités se sont maintenues à des niveaux extrêmes. D’un côté, les 1 % les plus riches de la population ont amassé entre un quart et un tiers des revenus, et les 10 % les plus riches en ont récupéré plus de la moitié. Ainsi, pour 1 euro de croissance, le décile supérieur en récupère environ 55 centimes, et 90 % de la population se partage le reste. Ces écarts signifient que deux pays coexistent au sein d’un même, l’un avec les revenus des riches en Allemagne, l’autre avec celui des pauvres en Moldavie. Source lemonde.fr édition abonnés
Chili. Affrontements violents, séisme et panique : le chaos règne à Santiago
Source ouest-france.fr
A Santiago du Chili, les manifestants toujours présents.
Aucun des huit kilomètres de l’Alameda n’a été épargné. Tout le long de l’avenue principale de Santiago qui mène jusqu’à Plaza Italia, centre névralgique de toutes les manifestations depuis le 19 octobre, les bâtiments sont tagués. Source París marca.com
VIDEO. Chili : depuis trois semaines, la contestation ne faiblit pas.
Source: francetv.fr
Aujourd’hui lundi 4 novembre sur France Culture la situation au Chili et en Argentine
Sélection faite par Solidarité Chili qui vous permettra de vous informer sur la situation actuelle dans notre pays.
Liberation
Le Monde
L’Expess
Lundi Matin
Radio Canada
France TV
Mediapart
RFI
Radio Parleur
El Desconcierto
Ecoutez l’émission du journaliste Pierre Haski:
Le Chili en crise : comment recréer un pacte social inclusif ?
Le Figaro (version abonné)
21/10
Chili : «Pour l’instant, l’état d’urgence est surtout social»
Source Liberation.fr
1 Commentaire
Pierre BUORO
Bonjour,
Quelle est la démarche à suivre pour obtenir un exemplaire d’un journal chilien datée du 23 avril 2021 ?
Dans l’attente de votre réponse.
Cordialement,
Pierre Buoro